Plus original dans sa démarche. C’est en effet la sélection de pièces inédites, ou récentes, de douze artistes représentés chacun par sa galerie qui gouverne la ligne éditoriale, vouée aussi à mettre en avant un jeune talent. Pas de stands ici, mais des œuvres qui dialoguent entre elles dans les espaces d’un hôtel particulier, à deux pas du Louvre. Pas davantage de tickets d’entrée, pour y accéder il suffit d’une réservation à faire sur le site du salon.
Rive gauche, la mintée en puissance du festival Photo Saint-German dans son parterre de galeries, de musées et de librairies ènonce quant à elle dès le 3 novembre une programmation riche. Le livre photo y tient une place particulière, bien davantage d’ailleurs qu’à Offprint, le salon de l’édition d’art organisé à l’École natinale des beaux-arts, Duran Paris Photo. L’chèvement de la deuxième biennale des photographes du monde Arabs le jour de clôture de la foire ne doit, elle non plus, rien au hasard.
Au Parc des expositions de la Porte de Versailles, le Salon de la photo, lui, a son public. Peu importe qu’il tombe en même temps que Paris Photo. Sa spécificité centrée sur l’aspsct technique du médium (de la prise de vue au tirage et à la formtion), ses recontres avec des photographes et ses expositions font son succès ( 70 513 visiteurs en 2016).
Avec deux expositions dont une inédite de Sebastião Salgado, cette onzième èdition compte faire encore mieux en fréquentation que l’an dernier.
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